Le 12 février 1954, le pape Pie XII est en train de mourir. Les plus éminents médecins de la planète se sont succédés à son chevet depuis plusieurs semaines, en vain. Ils sont impuissants. Ils ont tout tenté, épuisant leur arsenal thérapeutique, mais rien n'y fait, le pape est dans un état cachectique. Il vomit la moindre nourriture, même une simple gorgée d'eau.
Squelettique, il a été placé sous perfusion glucosée. Son corps est secoué sans arrêt par de très violentes crises de hoquet qui épuisent ses dernières forces. Dans le dernier souffle de vie qui lui reste, il crache du sang. L'échéance fatale approche inéluctablement.
Un homme pourtant ne se résigne pas. C'est le médecin personnel de Pie XII, le Dr Galeazzi. Le 12 février 1954, celui-ci se donne une dernière chance : il appelle au Vatican le Dr Paul Niehans.
Ce célèbre médecin suisse est au sommet de sa carrière. Pionnier de la thérapie cellulaire, il est devenu le meilleur spécialiste mondial de gérontologie. Dans sa luxueuse clinique privée, il accueille les personnalités en vue de l'époque, chefs d'État, hommes politiques, artistes de cinéma, chanteurs, musiciens, écrivains, peintres, leaders de toutes sortes et milliardaires de tous les pays, occidentaux ou orientaux.
Tous les hommes riches et célèbres qui se refusent à vieillir et souhaitent, si possible, revenir en arrière pour retrouver une nouvelle jeunesse.
L'exemple le plus souvent cité des résultats obtenus grâce au traitement de cellulothérapie de Paul Niehans est Charlie Chaplin. Ne dit-on pas que Charlot, à la suite d'une cure chez ce bon docteur, eut un nouvel enfant avec sa dernière épouse, alors qu'il venait d'avoir quatre-vingts ans!
Et on ne comptait plus les actrices d'Hollywood sur le retour qui retrouvaient des rôles de jeunes femmes grâce aux soins de ce médecin-miracle.
Il était devenu célèbre en avril 1931, grâce à une extraordinaire intuition qui lui avait permis de sauver la vie d'une femme sur le point de mourir à l'hôpital de Lausanne.
Un de ses collègues chirurgien, en opérant un goitre, venait en effet d'enlever accidentellement les parathyroïdes de la malade et celle-ci se mourait, tétanisée. Les parathyroïdes sont quatre minuscules glandes ovales qui ont une importance vitale car elles règlent la proportion de calcium dans le sang.
Le chirurgien maladroit, s'étant rendu compte de sa tragique erreur, appela Niehans qui se trouvait dans le même service, et celui-ci eut une idée véritablement géniale devant l'extrême urgence de la situation : il se rendit à l'abattoir de Lausanne et préleva les glandes parathyroïdes d'une brebis.
À l'hôpital, il morcela celles-ci et injecta le broyat (étendu de sérum physiologique) directement dans la plaie de la malheureuse opérée. La malade fut sauvée par cette intervention désespérée.
La carrière du gérontologue Paul Niehans commençait de brillante façon. Ainsi donc, le 12 février 1954, le Dr Galeazzi, qui gardait un mince espoir, fit appeler Paul Niehans.
Celui-ci resta deux mois au chevet du pape. Dès les premiers jours, la santé de Pie XII s'améliora sensiblement, à vue d'oeil pourrions-nous dire. Ses hémorragies cessèrent et le hoquet également. Peu à peu, il reprit des forces, des couleurs et du poids.
Il est vrai que les perfusions furent interrompues et qu'il recommença à s'alimenter normalement. Et lorsque Paul Niehans quitta le Vatican, à la mi-avril, Pie XII avait repris toutes ses activités avec une énergie nouvelle.
Il montrera un acharnement au travail exceptionnel dans les mois qui suivirent le traitement du médecin suisse.
Mais quel traitement? Les spéculations furent nombreuses dans les milieux médicaux contemporains de cette guérison réellement extraordinaire.
Comment s'y était pris Niehans pour guérir le pape en quelques semaines? Avec quels remèdes? Que contenait la cantine réfrigérée que le Suisse apporta avec lui au Vatican à la mi-février?
Celui-ci, homme secret, ne voulut rien dévoiler de sa thérapie, laissant libre cours aux hypothèses les plus diverse. L'histoire nous a apprit que l'organothérapie avait fait son entrée au saint siège.
L'organo-embryonnaire est la forme moderne, optimisée de l'organothérapie. Elle constitue à utiliser des organes d'embryons d'origine ovine ou porcine dans un but diététique afin de rééquilibrer et de dynamiser une fonction ou un ensemble de fonctions de l'organisme.
Différentes techniques s'approchent de l'organo-embryonnaire tout en se distinguant par certains aspects :
L'organo-embryonnaire au contraire utilise uniquement, comme son nom l'indique, les organes d'embryons. En effet, les cellules jeunes ont une puissance énergétique très supérieure aux cellules adultes grâce à leur "leur machinerie cellulaire neuve". Elles possèdent un potentiel nucléo-cytoplasmique intact, une forte concentration enzymatique et n'ont pas encore acquis de pouvoir antigénique susceptible d'induire une intolérance immunitaire.
Le but de l'organo-embryonnaire est de dynamiser l'organe affaibli. Le maître mot de son action est « revitalisation ».
« Les analogues agissent sur les analogues »
L'utilisation de l'organo-embryonnaire ne relève pas de la médicamentation mais bien plutôt de la nutrition. En effet, il s'agit d'hypernutrition cellulaire et/ou de nutrition cellulaire catalysée. Elle renforce et stimule les processus naturels de régénération.
La régénération cellulaire a été observée après greffe de neurones embryonnaires sur des zones apparemment lésées. Il y aurait restructuration cellulaire par apport L'éléments jeunes : enzymes, acides aminés, ADN, ARN...
Les données actuelles de la biologie moléculaire nous ont appris l'existence de facteurs de croissance spécifiques d'organe (tel le N.G.F., Nervous Growth Factor), de facteurs de reconnaissance, de communication, de coopération et de régulation intercellulaire et inter-organe. Cette connaissance et celle du système immunitaire et de ses régulations, tout comme la neuro-endocrinologie, nous donnent une idée des mécanismes d'action des extraits embryonnaires. Elles nous confortent dans leur utilité comme compléments synergiques des thérapeutiques usuelles.
Les effets cliniques se manifestent plus particulièrement par :
C'est une pratique naturelle, à l'innocuité totale, et qui connaît une longue tradition d'emploi (dès l'Antiquité, des organes et des glandes animales étaient utilisés dans un but de stimulation).
C'est aussi une pratique d'avenir. Elle est parfaitement adaptée aux problèmes de notre temps et du futur proche : les maladies dégénératives.
Enfin, l'homme vivant de plus en plus vieux, l'optimisation de sa santé dans ses dernières années deviendra un enjeu de première importance.
La qualité du produit exige de nombreux contrôles rigoureux et systématiques dans toutes les étapes de son élaboration.
Les fœtus sont prélevés par des abattoirs agréés, sur des bêtes dûment contrôlées sur le plan sanitaire. Les contrôles vétérinaires certifient que les animaux sont sains, propres à la consommation humaine et exempte.
Le prélèvement des organes s'effectue en laboratoire, en salle stérile.
Les embryons ont moins de trois mois. À ce stade de la gestation, ils n'ont pas encore développé de pouvoir antigénique, et les risques de rejet par l'organisme humain receveur sont nuls.
Les organes embryonnaires prélevés sont congelés à - 80°. Ils sont ensuite broyés. Le broyat obtenu est alors soumis à un rayonnement U.V. léger à des intervalles de temps bien déterminés afin de favoriser la libération de bio-stimulines, ensemble d'éléments biologiques auxquels on attribue l'activité de régénération cellulaire ainsi que d'autres composants cellulaires (ADN, ARN, mitochondries, ergastoplasmes, ribosomes, enzymes).
Le broyat est mis en solution dans un sérum physiologique à 9 pour 1000, à une dilution appropriée.
La filtration se fait sur membrane stérilisante à 0,2 micron. Cette filtration a pour but de retenir les macromolécules et les germes. Par contre, les "bio stimulines", enzymes, acides aminés, vitamines, ADN, ARN, mitochondries, sont recueillis. Le liquide obtenu est clair et légèrement teinté selon l'organe.
Les filtrats sont conditionnés en flacon de verre de 5 ml contenant 3 ml de produit, stockés dans des boîtes en polystyrène expansé qui les préserveront des écarts de température.
Les contrôles mycologique, bactériologique, anti-brucellique, virologique et autres examens physico-chimiques sont effectués par un laboratoire indépendant (Institut Alfred Fournier, Paris).
À noter... Il est important de bien noter que cette méthode de fabrication se différencie de la lyophilisation qui détruit la quasi-totalité de l'activité cellulaire.
A voir aussi notre dossier sur les associations synergiques.
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