Se dit d'une maladie secondaire provoquée par un médicament ou un traitement médical.
Altération généralisée de l'épiderme qui est épaissi, rendant la peau sèche, rugueuse, avec une desquamation rappelant les écailles des poissons.
Stimulant les défenses naturelles de l'organisme contre un agresseur.
Infection de la peau due à des microbes (les staphylocoques et les streptocoques), l'impétigo touche essentiellement l'enfant. Cette dermatose se manifeste par un ou plusieurs gros boutons purulents, qu'il faut vite désinfecter et traiter par des antibiotiques en pommade ou en sirop, car ils se multiplient rapidement et sont très contagieux. Pour éviter leur apparition, il suffit de nettoyer toutes les petites blessures, les piqûres de moustiques et autres "bobos", notamment chez les petits enfants et surtout l'été, période de prédilection de l'impétigo.
Malgré sa fréquence, on parle peu de l'incontinence urinaire. Ce n'est pourtant pas une maladie honteuse et on dispose de traitements efficaces. Les jeunes mamans rencontrent souvent ce type de problème après un accouchement en raison de la distension physiologique du périnée. La fuite des urines se manifeste surtout lors des efforts (toux, rire...). Autre population touchée : les femmes âgées. Le relâchement des sphincters qui assurent la fermeture de l'urètre et l'affaiblissement des muscles de la région périnéale dû au vieillissement expliquent l'incontinence.
Enfin, l'incontinence urinaire de l'homme âgé fait souvent intervenir une pathologie de la prostate. Les infections urinaires sont aussi pourvoyeuses d'incontinence des urines. Parmi les autres facteurs précipitants, il faut citer certains médicaments (tranquillisants, somnifères, hypotenseurs, diurétiques...), la présence d'une sonde urinaire ou d'hémorroïdes, la prise excessive de boissons le soir ou, pour les personnes âgées, des locaux mal adaptés aux capacités de déplacement (des toilettes trop éloignées ou un lit trop élevé).
Grâce à une meilleure connaissance des mécanismes de cette maladie, on peut aujourd'hui proposer une prise en charge efficace. Chez les femmes qui viennent d'accoucher, la rééducation périnèale, réalisée sous le contrôle du kinésithérapeute, prévient l'apparition d'une incontinence urinaire. Il faut toujours rééduquer le périnée avant de faire travailler les muscles abdominaux. Chez les femmes ménopausées qui ne présentent pas de contre-indication aux hormones, les estrogénes permettent au périnée de conserver une bonne trophicité. Enfin, les facteurs favorisants doivent être recherchés et traités.
D'une façon générale, l'incontinence urinaire est traitée par des médicaments prescrits par le médecin, par une rééducation périnéale réalisée à l'aide de stimulations électriques ou d'une méthode, appelée biofeedback, qui aide le malade à contrôler son sphincter, ou, dans de plus rares cas, par la chirurgie.
L'indigestion est souvent appelée à tort "crise de foie". Ce n'est pas le foie qui est en cause, mais bel et bien la digestion, impliquant l'estomac, l'intestin et, éventuellement, la vésicule biliaire.
Le sujet se plaint de lourdeurs gastriques, de nausées. Il a la langue "chargée", parfois mal à la tête.
Une indigestion peut s'accompagner de vomissements et de diarrhée. Elle résulte généralement d'un repas trop abondant, trop riche et trop arrosé.
Le traitement est simple. Il s'agit de s'abstenir de manger pendant 24 heures, puis de reprendre une alimentation légère et saine en évitant l'alcool, les graisses et les crudités. En revanche, il convient de boire abondamment (de l'eau, des infusions ou du bouillon de légumes], souvent et en petites quantités. L'hydratation est d'autant plus importante qu'il existe des vomissements ou une diarrhée. Enfin, le pharmacien conseillera des antolgiques pour les maux de tête et des cachets (effervescents) à base de bicarbonate pour l'embarras gastrique. S'il existe une fièvre, si les troubles digestifs sont intenses ou persistants, il faut appeler le médecin, qui recherchera une intoxication ou une infection.
L'infarctus du myocarde correspond à l'occlusion brutale et totale d'une arlère coronaire par un caillot de sang : la région du muscle cardiaque irriguée par ce vaisseau meurt. Il faut agir très vite pour sauver le maximum de muscle cardiaque. Ce caillot (appelé thrombus) se forme généralement sur des lésions pré-existantes de l'artère, déjà réîrécie par de l'athérome (voir : coronaire - insuffisance). Cependant, il n'est pas exceptionnel que l'infarctus soit le premier signe visible d'une maladie coronaire jusqu'alors ignorée du patient. L'infarctus du myocarde est une véritable urgence médicale. Pour être efficace, le traitement doit être commencé dans les deux heures qui suivent les premières douleurs. Or, le public insuffisamment informé n'alerte pas assez rapidement les secours ou n'indique pas l'urgence de la situation lors de l'appel. Pour parvenir à réduire le délai de la prise en charge, le public doit être informé des symptômes de l'infarctus. Le patient évoquera ainsi facilement le diagnostic, et alertera immédiatement les secours.
Le médecin réanimateur, appelé au chevet du patient, s'assurera de la réalité de l'infarctus, puis mettra en place une thrombolyse (il injecte un produit qui dissout le caillot coronaire). En même temps, le malade est mis sous surveillance électronique permanente, qui détecte les troubles de rythme et permet la pratique immédiate d'un choc électrique en cas d'accident.
Le transport en milieu hospitalier spécialisé peut avoir lieu. Plus le traitement est précoce, plus il a de chances de succès et moins le territoire cardiaque définitivement détruit est important.
Si l'hospitalisation est nécessaire pour maîtriser la phase aiguë de l'infarctus, après quelques jours ou semaines le retour au domicile peut avoir lieu. Progressivement, et en fonction de l'état cardiaque, le sujet peut reprendre les activités courantes de la vie quotidienne. Un exercice physique régulier, très progressif et strictement contrôlé est conseillé. Il fait partie de la réhabilitation du malade. La prescription de médicaments prévenant de nouvelles crises et éventuellement la pratique d'un pontage coronaire (après bilan des lésions) sont discutées. Enfin, infarctus et insuffisance coronaire relevant de la même pathologie, les recommandations d'hygiène de vie susceptibles de prévenir ces maladies sont identiques (voir : coronaire - insuffisance).
Mon conseil :
Le patient ressent brutalement une douleur thoracique violente qui serre la poitrine comme dans un étau. La douleur irradie dans le bras gauche ou la mâchoire. Parfois, des troubles digestifs sont au premier plan et trompent sur l'origine des symptômes. Le sujet est terrassé par la crise, pâle, couvert de sueur. Son pouls s'accélére. Il peut avoir des "ratés". La douleur de l'infarctus est de même nature que celle de l'angor, mais elle est plus intense, plus longue et ne cède pas aux médicaments habituels de la crise.
En laboratoire.
Sur le vivant.
Expérience faite sur du matériel vivant en laboratoire. Désigne en général la culture cellulaire, une des méthodes les plus prometteuses comme alternative à l'expérimentation animale.
International Nomenclature of Cosmetics Ingredients.
Une artère du coeur est totalement occluse entraînant la mort d'une partie du muscle cardiaque.
Le coeur accompli son travail de pompe de façon incomplète, d'où une mauvaise distribution du sang oxygéné vers les organes.
Méthode de diagnostic utilisant l'aspect de l'iris (trame, taches, coloration, etc.) pour déterminer l'organe ou le système déficient au moment de l'examen.
Le centre d'amincissement Hélène Galé, votre coach minceur anti-âge, vous propose de mincir ou de maigrir avec la cryolipolyse, la radiofréquence, la cavitation et le vacum à Tarbes 65000 et Pau 64000. Supprimez la cellulite qui vous gène et profitez des soins visage et corps et des compléments alimentaires Hélène Galé !