Appareil (de la taille d'un pace maker environ) que l'on implante sous la peau et qui surveille le rythme cardiaque. Il est capable, en cas d'arythmie maligne, d'enregistrer l'arythmie puis de déclencher un choc électrique (de faible énergie) pour corriger ou abolir cette anomalie du rythme.
Etat pathologique où les besoins de l'organisme en énergie ou en nutriments variés ne sont pas couverts.
Le terme de dépression est quelque peu galvaudé, regroupant tous les aspects du mal-être général. Cependant, les médecins parlent de dépression lorsque le patient présente des troubles de l'humeur (tristesse, autodépréciation, culpabilité), une impossibilité d'agir (fatigue, inaptitude à profiter de la vie) et des manifestations d'anxiété. Les troubles somatiques associés sont fréquents ; il s'agit de troubles du sommeil, de perte de l'appétit ou de baisse de la libido. En réalité, il n'existe pas une, mais des dépressions bien différentes les unes des autres.
La frontière entre le normal et le pathologique est parfois ténue. Il est normal de se sentir triste après deuil, la perte d'un emploi ou des difficultés financières. Si les symptômes dépressifs sont accentués ou durables, il peut s'agir d'une vraie dépression, dite réactionnelle, qui nécessite un traitement. D'autres fois, le patient est déprimé sans raison apparente. Le médecin doit être consulté : il fera le diagnostic, recherchera un trouble psychiatrique et proposera une prise en charge adaptée.
Dans un certain nombre de cas, les médecins parlent de dépression masquée : les signes cliniques et psychologiques sont trompeurs, alors qu'il s'agit d'une vraie dépression ; cela est fréquent chez l'adolescent ou la personne âgée. Il faut savoir évoquer le diagnostic devant une fatigue, une perte d'intérêt ou des douleurs inexpliquées.
Enfin, il existe des formes particulières de dépression à connaître. Tel est le cas de la dépression saisonnière, apparaissant et disparaissant tous les ans à la même époque (un traitement préventif par antidépresseurs peut être proposé. Une des formes de ces dépressions saisonnières est la dépression hivernale, qui semble liée au manque de lumière. On préconise, pour traiter les patients, une exposition à la lumière artificielle plusieurs heures par jour durant la saison hivernale. Autre type de dépression, la psychose maniacodépressive est une affection psychiatrique handicapante au cours de laquelle alternent des épisodes dépressifs et des accès maniaques. Cette forme particulière de dépression réclame un traitement spécifique (entre autres par le lithium).
D'une façon générale, les traitements actuels de la dépression ont beaucoup progressé. Actifs et bien supportés, ils nécessitent néanmoins une surveillance médicale étroite. Une prise en charge psychoîhérapeulique fait également partie intégrante du traitement de la dépression. Enfin, l'entourage du déprimé a souvent lui aussi besoin d'être soutenu.
Inflammation de la peau.
Elimination des cellules mortes de la peau (couche cornée).Normale, elle est superficielle et invisible. Pathologique, elle apparaît sous forme de "squames" sur la peau, et de "pellicules" sur le cuir chevelu. (on parle d'exfoliation de l'épiderme).
Acide gras poly-insaturé à chaîne longue, de la famille des oméga-3, que l'organisme sait fabriquer à partir de l'acide alpha-linolénique ou qui est apporté par les poissons gras. Il joue un rôle important dans la structure des membranes, le développement et le fonctionnement du cerveau.
Le diabète est une maladie chronique correspondant à un trouble de la régulation des sucres. Pour comprendre ce qu'est le diabète, il faut savoir que l'organisme sécrète une hormone, l'insuline, capable de capter le sucre contenu dans le sang pour le stocker dans divers organes (foie, muscles, par exemple). La sécrétion de cette hormone par le pancréas permet donc de maintenir un taux constant de sucre dans le sang. On parle de glycémie, normalement égale à 1g/l le matin à jeun.
Le diabète, ou plutôt les diabètes, correspond à un mauvais fonctionnement de celte hormone, qui se traduit par une élévation du taux de sucre dans le sang (et dans l'urine, le rein éliminant l'excédent de sucre). On distingue le diabète insulinodépendant (le patient doit se faire des injections d'insuline), au cours duquel le pancréas ne produit plus (ou pas assez) d'insuline, et le diabète non insulinodépendant (ou diabète gras), au cours duquel le pancréas sécrète de l'insuline peu active. Cette dernière forme de diabète est la plus fréquente : elle concerne un million de personnes en France et elle semble liée (en partie) à un excès de poids. Le traitement repose tout naturellement sur la réduction de la surcharge pondérale et la prescription d'antidiabétiques oraux.
Dans les deux cas, le diabète doit être pris au sérieux : non traité, ou mal équilibré, il entraîne de graves complications vasculaires. De nombreux organes sont ainsi concernés : le rein, l'œil (le diabète est une cause de cécité), le cœur, les membres inférieurs, où siègent des lésions d'artérite pouvant conduire à l'amputation. Le diabétique souffre en outre de "bobos cicatrisant mal" (les maux perforants plantaires) et d'infections récidivantes.
Aussi une activité physique régulière est-elle recommandée, comme le sont des soins dentaires réguliers, une hygiène parfaite des pieds et un mode de vie sain (sans tabac, avec un régime alimentaire équilibré).
Mon conseil :
Le diabétique insulinodépendant doit se faire des injections d'insuline régulières pour imiter au mieux la sécrétion normale de cette hormone par I'organisme. Selon la nature de l'insuline, les injections seront espacées de 6, 12 ou 24 heures.
Le diabétique doit surveiller régulièrement sa glycémie pour adapter les doses d'insuline. Il le fait à l'aide d'un petit appareil qui dose le glucose dans une goutte de sang recueillie par piqûre du doigt. Il peut également surveiller la glycosurie (sucre dans l'urine) à l'aide d'une bandelette réactive plongée dans un échantillon d'urine.
En marge de cette autosurveillance régulière, le médecin demande un dosage de l'hémoglobine glycosylée, pratiqué en laboratoire, qui apprécié la stabilité de la glycémie les semaines écoulées (donc la bonne conduite du traitement). Vu bilan rénal et un examen ophtalmologique réguliers sont indispensables. Enfin, le diabétique doit toujours avoir sur lui un aliment sucré, à prendre en cas d'accident hypoglycéinique favorisé par une erreur de régime (repas trop léger, retard sur l'horaire), un exercice ph ysique inhabituel ou non prévu, ou la pratique d'une dose trop élevée d'insuline.
La diarrhée est définie par l'élimination d'une quantité trop importante de selles trop liquides. C'est un symptôme fréquent, surtout chez le jeune enfant. La diarrhée peut avoir différentes origines :
La plupart du temps d'origine virale, elles provoquent volontiers des épidémies en crèche ou dans les écoles maternelles. Plus rarement, la diarrhée est due à un germe pathogène, comme la salmonelle. Le traitement repose sur le régime antidiarrhéique et, surtout chez le nourrisson, la réhydratation. Le risque majeur de ces diarrhées infantiles est en effet la déshydratation, qui survient d'autant plus rapidement que l'enfant est jeune. Pour la prévenir, on dispose de solutions toutes prêtes que l'on dilue dans l'eau du biberon. Dans certains cas, en particulier chez le petit nourrisson, la réhydratation orale est difficile, voire impossible, en raison de vomissements concomitants. Il faut alors recourir à la réhydratation par voie veineuse, qui nécessite l'hospitalisation.
Chez l'enfant plus grand et chez l'adulte, la diarrhée guérit généralement à l'aide dun régime (les fameuses carottes, le riz, les pommes et les bananes...) et de médicaments destinés à ralentir le transit, à éviter les vomissements, à calmer les douleurs et à rééquilibrer la flore intestinale. Un traitement plus spécifique peut s'avérer nécessaire, notamment dans le cadre de certaines diarrhées infectieuses ou parasitaires. La diarrhée peut également être la conséquence d'un traitement médicamenteux, antibiotiques en particulier. Pour la traiter, il suffit d'arrêter le médicament en cause et de rétablir la flore normale (cure d'ultralevures). Il faudra mettre à part les diarrhées chroniques, qui ont bien d'autres causes (intolérance alimentaire héréditaire, mucoviscidose...) et qui requièrent un diagnostic et une prise en charge médicale bien spécifiques.
Moment où le coeur se relâche, quand arrive le flux sanguin.
Neurotransmetteur impliqué dans les comportements de découverte, d'éveil, de vigilance.
Aucun prélèvement qu'il soit effectué dans le sang, l'urine, les cheveux, la salive... ne procure pour le moment de renseignements suffisamment précis, fiables et décisifs sur la quantité des éléments présents dans le corps et bien sûr la nécessité d'une supplémentation.
La douleur est un symptôme extrêmement fréquent qui n'épargne personne. C'est un signal d'alarme qui indique une souffrance de l'organisme. Intense ou chronique, la douleur nécessite un traitement symptomatique approprié, pas toujours facile à mettre en œuvre.
La douleur est un domaine de la médecine très complexe, du fait de la pluralité de son origine et de ses mécanismes (migraine, accouchement, fracture, arthrose, brûlure...), des difficultés de l'évaluation et de l'existence d'autres facteurs (affectifs, socioprofessionnels et psychologiques) interférant avec le symptôme douloureux.
Si la majorité des douleurs modérées et passagères trouve une réponse satisfaisante avec les antalgiques disponibles en officine et vendus sur le conseil du pharmacien (aspirine, paracétamol ou certains anti-inflammatoires à faibles doses), les douleurs intenses, prolongées ou chroniques posent des problèmes thérapeutiques que le médecin tentera de résoudre.
D'une façon générale, le médecin tiendra compte :
La prise d'un antalgique n'est jamais un geste anodin : refusez systématiquement le comprimé qui a soulagé Untel et n'hésitez pas à prendre le conseil du pharmacien ou du médecin.
Difficulté d'apprentissage de la lecture et de l'orthographe, en dehors de toute déficience intellectuelle et sensorielle et de tout trouble psychiatrique.
Trouble d'ordre psychomoteur (et parfois affectif), souvent accompagné de difficultés d'apprentissage de la lecture, de l'écriture et du calcul.
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